Un samedi bénit

C'est un samedi ou nous nous sommes retrouver pour une journée je dirais de partage , nous nous étions retrouvé le matin tous deux pour aider des amis artiste à s installer pour un numéro de cirque, c'étais un réel bonheur pour moi de retrouver ma jolie Marie, celle qui faisait battre mon coeur, celle qui m'avais montré que je pouvais encore aimer moi qui croyais que mon coeur était mort. Elle arrivait pleine délégance, de sa beauté naturel sans fard.Son sourire enchanteur ravissait encore mon coeur, elle me laissait encore rêveur dans mes pensées. Je ne cessais de la contempler, j'aimais la regarder.

Je me sentais si heureux de partager ces moments avec elle, je faisait tout pour qu'elle se sente bien à mes cotés.Je me sentais dans un autre temps, une autre dimension, un moment de pur bonheur.

Pour déjeuner nous avions décider d'improviser un pic nic, tous deux cote à cote assis sur un banc comme les amoureux de Peynet, ce déjeuner était un vrai bonheur, comme si nos échanges verbaux nous permettait de nous rapprocher un peu plus , j'étais sur un nuage, je nous sentais complice, on abordaient des sujets de conversations des plus varié, comme deux complices.

Je ne cessais d'être rêveur dans ces instants, elle était belle ma jolie Marie, nous échangios sur nos vies respectives, nos expériences, nos envies, nos états d'ame, une fusion de nos pensées.

C'étais pour moi une journée de rêve, j'étais ailleurs, dans une autre dimension, cette journée avait un gout de bonheur, je n'aurais jamais imaginer pouvoir passer une si belle journée.

Je la sentais bien dans nos échanges, je nous sentais un peu complice.

Puis le soir venus nous avons terminé la soirée avec nos amis, je la voyais redevenir une jeune femme insouciente,heureuse du moment.

Au moment de nous quitter nous avons de nouveau discutés tous deux, je lui ai exprimé combien je l'aimais, combien j'avais passé une merveilleuse journée avec elle, avec ma Marie. La belle me dit qu'elle aussi avait passé une belle journée, j'en étais heureux, elle allait partir en déplacement dans les jours qui suivaient et elle me demanda si cela n'allait pas être trop long pour moi, je lui répondis que oui mais que je l'attendrais . Je l'aime tant ma Marie, persuadé que je la retrouve enfin après tant de temps.Mais cela elle seule pourrais comprendre de quoi je parle.

Ah que je l'aime ma Marie, si belle, si brillante, si parfaite.

Marc